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L'appel à candidatures sera publié lorsque les nouvelles dates pour la COP26 seront connues. |
À la suite de mon expérience pour me rendre à la COP25, des rencontres faites sur place et surtout du long retour qui m’attend encore, j’ai décidé de transformer ma frustration en une lettre ouverte. Mais, également, de formuler mes espoirs quant aux voyages de demain.
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Mardi après-midi, une vingtaine de pays ont signé la “High Ambition Coalition”, une déclaration dans laquelle les Etats signataires montrent leur volonté de relever leurs ambitions et de lutter activement contre le réchauffement climatique. La Belgique, invitée à rejoindre cette coalition, n’a finalement pas souhaité en faire partie.
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À la suite de la première semaine de la COP25, nous avons voulu coucher sur papier nos impressions sur les négociations particulièrement mises en perspective face aux constats de la science qui déclarent l’urgence climatique. Pour décrire la situation un seul mot : l’immobilisme.
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La problématique de la biodiversité est une thématique récurrente dans l'actualité environnementale mais cette thématique reste malheureusement peu politisée. C'est pourquoi nous avons décidé de tester tes connaissances sur le sujet !
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Au cours des derniers jours, les rapports sur l’état du climat
et de la planète se sont succédés. Le moment choisi n’est pas anodin : les COP sont le moment de mettre la pression sur les dirigeants du monde entier. Et la pression, ils en ont bien besoin. Malgré les avertissements des scientifiques, l’état de la planète empire. Les gouvernements auraient-ils du mal à avaler la pilule ? |
Nous avons eu l’occasion d’interviewer Monsieur Edwin Zaccai à propos de son livre "Deux Degrés".
Ce livre donne quelques clés pour comprendre les enjeux climatiques qui sont actuellement discutés à la COP ! |
Vous avez-dit CCNUCC?
Derrière cet acronyme barbare se cache la convention à l'origine des COP. Viens jeter un coup d'oeil, on te l'explique en 2 minutes ! |
La problématique de l'énergie est une thématique récurrente dans l'actualité environnementale et mais cette thématique reste malheureusement tabou dans les négociations internationales. C'est pourquoi nous avons décidé de tester tes connaissances sur le sujet !
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Nous vous emmenons avec nous dans une journée pré-COP25. Ce lundi 25 novembre, entre le stakeholders meeting et l'organisation de la Conférence "Quels enjeux et attentes pour la COP25", ce fut une journée chargée et riche en émotions !
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Les responsables politiques, les acteurs environnementaux de tous bords, les scientifiques et les organisations non-gouvernementales (ONG) sont aujourd’hui activement engagés dans la préparation de la Conférence des Nations Unies sur le climat et le développement (la COP 25) qui se tiendra à Madrid du 2 au 13 décembre.
Mais que préparent-ils exactement ? Les ONG, les scientifiques et le monde politique se rendent-ils à la COP 25 dans le même état d’esprit ? |
La problématique des forêts est une thématique récurrente dans l'actualité environnementale et sera un des nombreux sujets de discussion de la COP25. C'est pourquoi nous avons décidé de tester tes connaissances sur le sujet !
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La problématique des forêts est une thématique récurrente dans l'actualité environnementale et sera un des nombreux sujets de discussion de la COP25. C'est pourquoi nous avons décidé de tester tes connaissances sur le sujet !
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Depuis quelques années, le sujet de « l’économie circulaire » occupe une place de plus en plus importante dans les médias et les discours politiques, tant au niveau national qu’international. Surtout l’Union européenne mise sur ce nouveau concept économique durable, avec son plan d’action « Closing the loop » de 2015, dont l’implémentation est révisée tous les deux ans. Mais concrètement, qu’est-ce que c’est et peut-on implémenter ce concept de façon réaliste ? Pour répondre à cette question, nous regardons de près le dernier rapport du groupe Circle Economy soutenu par l’ONU Environnement.
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La COP25 débutera le mois prochain, tu as d’ailleurs suivi le départ de Greta Thunberg puis des jeunes belges partis rejoindre le Chili en voilier et tu as même peut-être entendu parler d’un nouveau rapport du GIEC sorti il y a quelques semaines mais en fait... les COP, à quoi ça sert? Qui sont les acteurs? Comment ça fonctionne? Huit questions/réponses pour t’expliquer tout ça.
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Depuis le vendredi 18 octobre 2019, Santiago, la capitale du Chili, qui devait accueillir la COP 25 en décembre, fait l’objet de grandes manifestations. Une des causes : l’augmentation du prix des transports en commun, et plus particulièrement celui du métro. Mais ce n’était que le déclenchement ; le soulèvement social est en fait contre un système socio-économique inégalitaire qui inclut également corruption, discrimination contre les populations indigènes, et bien d’autres choses.
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Les Océans, c'est à dire 70% de la surface de la planète, ont pendant longtemps été mis de côté dans la couverture médiatique et dans les négociations internationales. Néanmoins, la vie s'y effondre plus rapidement que sur Terre. La cause principale à cela n’est clairement pas le plastique. Ce n’est pas non plus la pollution, le dérèglement climatique ou l’acidification des océans. C’est la pêche. Ou plutôt, la surpêche.
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Les mobilisations qui ont eu lieu les jeudis de l’année passée ont beaucoup fait parler d’elles. Les jeunes sont descendus en nombre dans la rue avec de multiples revendications. Ils ont été accusés d’y participer uniquement pour brosser les cours et de ne pas suivre dans leur vie personnelles les actions qu’ils revendiquaient. Certains ont cru que le mouvement allait s’épuiser mais ce n’est pas le cas, la mobilisation reste, l’urgence climatique et les échéances internationales font que la détermination de la jeunesse est encore plus forte.
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Le samedi 19 octobre, à l'occasion de la journée Scan'R à Namur, j'ai été invitée par Adrien Joveneau pour présenter le projet Inside COPs dans son émission "Grandeur Nature" sur Vivacité.
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La 25e Conférence des Parties des Nations Unies sur le Climat (COP25),se déroulera cette année du 2 au 14 décembre à Santiago, capitale du Chili. Lors de la cérémonie de lancement du 11 avril 2019, le président chilien Sebastian Pinera a décrété que cette édition « restera dans les mémoires comment étant la COP bleue » en référence à la place importante qu’il espère donner à l’Océan lors de ce sommet. Mais comment en est-on arrivés là ? Pourquoi une COP bleue ?
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Au moment où nous écrivons ces lignes, et à la suite des élections européennes, législatives et régionales du 26 mai dernier en Belgique, les différents gouvernements qui administreront le pays dans le futur n’ont pas encore tous été formés. Quel est l’impact de cette situation politique sur la représentation et l’action politique de la Belgique à l’international, particulièrement à la COP25 (25eConférence des Parties qui se déroulera à Santiago en décembre prochain) si cet état de fait restait inchangé jusqu’en décembre ?
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Depuis août 2019, la forêt amazonienne brésilienne est victime d’intenses incendies. L’Institut national de recherche spatiale (INPE) déclare en effet avoir observé plus de 9 500 feux, « principalement dans la région amazonienne », depuis le 15 août (Courrier international, 2019). A l'aube de la COP 25, quelle sera la place de la forêt tropicale dans les négociations ?
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Entretien avec Marie-Christine Marghem, ministre fédérale de l’énergie, du développement durable et de l’environnement.
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Lors de leur présence à la COP24, nos étudiants de l'ULB ont été interviewés par Bx1, Belga, La Première, la RTBF, Metro et la Libre Belgique. Retrouvez toutes les interviews mais aussi leur contribution à la Lettre 12 de la Plateforme Wallonne pour le GIEC.
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Plus personne ne peut le nier aujourd’hui : la combustion des énergies fossiles est largement responsable du changement climatique. Néanmoins, la question se pose dans le cadre d’un événement international tel que la COP 24 : faut-il convier les acteurs qui représentent les intérêts du pétrole, du gaz, ou encore du charbon autour de la table des négociations afin de trouver des solutions acceptables pour tout le monde ou faut-il au contraire les exclure afin d’éviter les tentatives de manipulation ?
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Cette semaine nous avons eu l’opportunité de rencontrer Jean-Luc Crucke, ministre wallon en charge du budget, des finances, de l’énergie, du climat et des aéroports (oui, tout ça!), qui se trouve actuellement en Pologne pour mener la délégation belge à la Cop24. Pour répondre à la structure particulière de la Belgique et de ses 4 ministres en charge du climat, chaque ministre préside en effet la délégation à tour de rôle. A cette occasion, nous avons pu interroger Mr Crucke à propos du manque d’ambition que notre pays a affiché au niveau européen il y a quelques jours.
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Lors d’un side-event à la COP24 : “Innovative Atmospheric Observation-based tools to support climate mitigation action” , il fut question des méthodes de mesure des émissions des gaz à effet de serre. Comment des outils innovants basés sur l'observation permettent aux parties prenantes d'améliorer leur connaissance des émissions nationales et d'identifier les opportunités de réduction de celles-ci ?
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Entretien avec Madame Frémault à propos de son rôle à la COP24, de ses projets de fin de mandat ou encore de ses dernières déclarations, accompagné d'un compte-rendu critique.
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A l’occasion du side-event « Climate science for policy » organisé par le GIEC ce mercredi 5 décembre 2018 à la COP24, le Rapport Spécial sur le Réchauffement de 1.5°C du GIEC et l’Emissions Gap Report 2018 de l’ONU (Programme Environnement) sortis récemment ont été présentés. A propos, quelles sont les différences entre ces deux rapports ? Tentons d’y voir plus clair avec Jean-Pascal van Ypersele, vice-président du GIEC de 2008 à 2015.
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La COP24 financée par de grandes compagnies d'énergies fossiles - Par Laura Bruno
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Valérie Masson-Delmotte est paléoclimatologue et co-présidente du groupe de travail 1 du GIEC. Elle a présenté le mardi 5 décembre 2018 à la COP24 les résultats du rapport spécial sur un réchauffement de 1.5°C du GIEC. Dans cette interview, elle nous explique entre autres les grands défis de ce rapport.
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La COP, c'est quoi ? Des négociations sans fin ? Un manque généralisé d'ambition pour sauver humains et écosystèmes (enfin, les plus vulnérables d'entre eux) ? Un cirque géant où la moitié des observateurs n'écoutent que d'une oreille pendant les événements, obnubilés par les réseaux sociaux ? La COP, c'est tout cela et bien plus à la fois.
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Ce samedi 8 décembre fin d’après-midi, avait lieu la troisième réunion du SBSTA à la COP24 qui clôturait ainsi la 49ème session du SBSTA. Après ce débat, les Etats-Unis et la Russie ont désorienté les pourparlers sur le climat en s'alliant à l'Arabie Saoudite et au Koweït pour atténuer l'approbation d'un rapport historique sur la nécessité de maintenir le réchauffement climatique en-dessous de 1,5 °C. Découvrez entre autres la réaction de Jean-Pascal van Ypersele, vice-président du GIEC de 2008 à 2015.
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The Green Climate Fund (GCF) is a financial mechanism set up by the UNFCCC to support climate action in developing countries, especially in Least Developed Countries (LDCs), Small Island Developing States (SIDS) and African countries. It was established at COP16 in 2010. The main role of this body is to provide framework and general direction for investments in climate change projects of the countries which joined the UNFCCC. The GCF is an independent institution piloted by a Committee where developed and developing countries are equally represented.
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« Si le rapport du GIEC était l’alarme incendie du monde, ce rapport constituerait l’enquête sur l’incendie criminel ». C’est ainsi que Joyce Msuya, Directrice exécutive d’ONU Environnement par intérim présente le 9ème « Rapport sur l’écart entre les besoins et les perspectives en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre » de l’ONU Environnement. Petite synthèse de ce rapport, afin d’avoir quelques références pour pouvoir se situer sur l’avancement de la situation durant cette COP24.
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Indigenous people in Arctic regions are among the first ones to feel the effects of climate change. The latter has impact on the physical environment of these peoples, but also on the living organisms which inhabit it. Not only these communities depend on biodiversity for their subsistence, they also have a strong connection to the latter due to the role biodiversity plays for their cultural identity.
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Comment débute la journée de la délégation belge ? - Par Juliette Garain |
One of the meetings we attended this week was “SBSTA informal consultations on local communities and indigenous peoples platform”. As it may sound too technical, let’s start with the short introduction about the conference functioning and a brief explanation of what is SBSTA.
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Deux jours après la marche pour le climat qui rassemblait ce dimanche près de 75.000 personnes dans les rues de Bruxelles, la Belgique a voté contre une proposition de directive sur l'efficacité énergétique et s'est abstenue lors du vote sur une directive concernant les énergies renouvelables. Nous avons interviewé à ce sujet Etienne Hannon, expert et membre de la délégation gouvernementale belge pour le climat.
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Au cours de la séance plénière « SBSTA-IPCC special event: Unpacking the new scientific knowledge and key findings in the IPCC Special Report on Global Warming of 1.5°C » qui s’est déroulée le mardi 05 décembre 2018, les experts scientifiques du GIEC ont présenté l’état des connaissances scientifiques ainsi que les principaux résultats du rapport.
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A l'initiative du premier avion solaire Solar Impulse ayant accompli le tour du monde, Bertrand Piccard nous explique sa présence à la COP24 ainsi que sa relation avec l'Université Libre de Bruxelles. |
Retour sur la séance d'inauguration de la COP24.
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How are the forests addressed in international and in LULUCF policy in EU? What’s the ambition for forests in climate action? How it’s related to People’s Climate Case?
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Afin de revoir les bases avant le commencement de la COP24, Etienne Hannon, expert dans la délégation gouvernementale pour la COP et enseignant à l'ULB, nous livre une explication détaillée et critique de l'Accord de Paris, de l'engagement des États dans ce cadre et de ce que l'on peut attendre de la COP24.
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En vue de la cop24, la task force on displacement a rendu un rapport sur les migrations environnementales. Samuel Lietaer nous en parle: de la question des financements à celles des contraintes actuelles, en passant par les enjeux qui sous-tendent les débats, cette interview offre un petit panorama sur la gestion politique de la questions des déplacés environnementaux.
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Chaque année, l’overshoot day tombe de plus en plus tôt ; preuve d’une dette écologique grandissante envers les générations futures. Par ailleurs, on remarque également qu’une dette écologique s’est créée entre pays développés et en développement. Cela est dû aux inégalités criantes qui divisent ces mondes. Au-delà de la lutte contre le changement climatique, les pays du Sud se réclament du droit à se développer. Il s’agit d’un pilier central des négociations climatiques. Néanmoins, il est dans l’intérêt de tous que les pays développés les accompagnent dans leur développement afin d’amoindrir l’impact sur l’environnement.
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Le 8 octobre 2018, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) publie le rapport spécial sur les conséquences d’un réchauffement planétaire de 1,5°C. Il constituera une base scientifique essentielle pour les prochaines négociations climatiques lors de la 24ème Conférence des Parties (COP24) à Katowice (Pologne). Mais au fait, qu'est-ce le GIEC, de quel rapport s'agit-il, quelles en sont les origines, à quoi va-t-il servir et surtout quels en sont les messages-clés, toutes les réponses à ces questions se trouvent dans cet article.
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Le thème de la solidarité et de la « transition juste » s’avère être cher à la Pologne qui en fait l’un des messages centraux de sa présidence de la COP24. Le choix de la ville hôte de Katowice, bastion minier et industriel en pleine transformation économique, illustre cette position. Mais au-delà du constat de la nécessité d’une telle transition, la planification et les actions par les états tardent à avoir lieu. Explication du concept de « transition juste », de son importance dans l’action climatique et de sa place à venir lors de la COP24 en décembre.
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Selon le « Sabin Center for Climate Change Law », il y aurait plus de 250 procès en cours contre les gouvernements dans le monde où les États sont confrontés à leur manque d'efforts en termes de réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES) (sans compter les cas aux USA). Un de ces procès a lieu actuellement au sein de l'Union Européenne (UE), où les citoyens ont décidé de se réunir pour poursuivre les établissements européens en justice, en raison de la violation de leurs droits. Regardons ce cas de plus près pour comprendre les motifs et les implications d'une telle action.
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Le 11 juillet 2018, le Conseil de sécurité de l’ONU a débattu sur la question suivante : le réchauffement climatique favorise-t-il les conflits armés ? Le Conseil mentionnait un cas concret: la situation autour du Lac Tchad. Ils ont sobrement conclu une fois de plus que le changement climatique était un « multiplicateur de menaces ». Autrement dit, le changement climatique exacerbe des tensions politiques, sociales, et économiques préexistantes.
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Trois ans après la mise sur pied du célèbre "Accord de Paris" et à quelques semaines de la COP24, l'heure est au bilan en ce qui concerne les engagements et les déclarations d'intention des différents États impliqués. Où en sont les différentes Parties? L'engagement global est-il suffisant pour respecter les objectifs de l'Accord? État des lieux de la situation actuelle.
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En juin 2018, s’est tenu l’événement de clôture du « débat national sur la tarification carbone », un processus de consultation mené durant un an et demi par le Service fédéral Changements climatiques. Son but ? Explorer la possibilité d’instituer une taxe sur les émissions de CO2 en Belgique, avec pour ambition de respecter les engagements pris par la Belgique à Paris en 2012. En quoi consiste exactement cette proposition ? Quelles en seront les implications pour les citoyens ? Quelle est l’efficacité réelle d’un tel mécanisme pour le climat ? Tentative de réponse.
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